Au festival de Cannes 2010, nous aurons remis nos 16ièmes RAILS D’OR.
Accueillis sur le pavillon de la commission Film France et aussi de la région Ile-de-France grâce et avec le concours de l’équipe Tournages et Cinéma de la SNCF, Philippe Laylle assisté de Sophie et François.
Nous aurons eu la chance cette année d’avoir, cette année, comme marraine Julie Bertuccelli, qui avait eu le Rail d’or en 2003 pour « Depuis qu’Otar est parti ».Elle est très amicalement venue remettre le grand rail d’or SOUND OF NOISE de Ola Simonsson et Johannes Stjanne Nilson alors que son film « L’arbre » était en sélection officielle, hors compétition certes mais en clôture, ce qui est un gage de haute qualité. En effet, les sélectionneurs du festival choisissent souvent pour la clôture un film très prometteur. Nous suivrons la sortie du film et nous essayerons de nous y associer.
Pour le rail d’or du court métrage, c’est Nicolas Engel, le lauréat 2008 de « La copie de Coralie » qui avait lui un film sélectionné dans la collection canal+ « Le crocodile du Dniepr » qui était le remettant.
Le court métrage a été attribué à un jeune Australien de 25 ans, Ariel Kleiman pour « Deeper than yesterday », (plus profond qu’hier), tourné dans un sous marin russe ce film dénote une maîtrise et une direction d’acteurs remarquables.
Le court métrage a été attribué à un jeune Australien de 25 ans, Ariel Kleiman pour « Deeper than yesterday », (plus profond qu’hier), tourné dans un sous marin russe ce film dénote une maîtrise et une direction d’acteurs remarquables.
Remarquables aussi auront été les deux réalisateurs suédois, Ola Simonsson et Johannes Stärne Nilsson pour « Sound of noise » (sons de bruits ?) (Notons en passant que sur le catalogue de la semaine de la critique ces titres ne sont pas traduits, c’est un peu dommage de considérer que 100% des cinéphiles sont anglicisant).
Le film « Armadillo » un documentaire assez extraordinaire du Danois Janus Metz sur le contingent Danois en Afghanistan a obtenu le grand prix de la semaine de la critique et est arrivé en second chez nous
Notons aussi qu’un plus de trente adhérents de l’association ont assisté à la projection de courts métrages de la collection canal plus : « Ecrire pour.. » et ont mis avant deux courts » Ya basta » de Gustave Kervern et Sébastien Rost et « Le meilleur ami de l’homme » de Vincent Mariette lequel avait la particularité d’avoir été stagiaire (étudiant en licence de cinéma) avec nous il y a quelques années.
Mais cette réussite, ces plaisirs, ne pourraient être vraiment accomplis sans l’apport de l’équipe du centre de La Bocca, Christian , Cathy , Corinne, Christine et Françoise à qui s’était joint Jean-Jacques et sans oublier l’autre Christian qui nous a confectionné les rails d’or.
On ne mesure pas assez le fait d’être accueillis dans la bonne humeur .C’est une contribution essentielle au succès.
Un très grand nombre d’entre nous ont pu assister à la sélection officielle et d’autres à la quinzaine des réalisateurs. (Cette année , l’association offrait pour les non accrédités des tickets que nous avions acheté, ces tickets étaient prioritaires ainsi un groupe de ceux du rail , dont moi-même, ont été refoulés parfois alors que tous les possesseurs de ces tickets étaient rentrés).
Les sujets concernant à la fois l’histoire et la société n’était pas absente de la sélection officielle provoquent bien des discussions et des polémiques.
Nous aurons eu Ken Loach, avec L’Irak sombre et pessimiste qui lui aura valu un rejet.L’algérie avec Xavier Beauvois et les moines de Tibehrine et Rachid Bouchareb avec «hors la loi », film qui aura provoqué une polémique nationale avec manifestation de l’hotel de vile de Cannes jusqu’à la croisette.
Et il y a eu le rail d’or 2000, Alejandro Gonzalès Inaritu avec « Amours Chiennes » pour une histoire très actuelle : des travailleurs sans-papiers et clandestins , chinois et africains et entre eux un Catalan Javier Bardem qui a eu la palme du meilleur acteur masculin
Toujours sur les sujets de société, Wall Street d’Oliver Stone a beaucoup déçu mais c’est à la quinzaine que nous aurons vu « Cleveland contre wall street « documentaire mis en scène du suisse Jean Stéphane Bron nous aura beaucoup appris sur les « subprimes ».A ce sujet nous envisageons (nous en discuterons bientôt) de projeter ce film lors de notre assemblée générale en présence du réalisateur qui nous a dire plus sur ce faux procès mis en scène
Le film « Armadillo » un documentaire assez extraordinaire du Danois Janus Metz sur le contingent Danois en Afghanistan a obtenu le grand prix de la semaine de la critique et est arrivé en second chez nous
Notons aussi qu’un plus de trente adhérents de l’association ont assisté à la projection de courts métrages de la collection canal plus : « Ecrire pour.. » et ont mis avant deux courts » Ya basta » de Gustave Kervern et Sébastien Rost et « Le meilleur ami de l’homme » de Vincent Mariette lequel avait la particularité d’avoir été stagiaire (étudiant en licence de cinéma) avec nous il y a quelques années.
Mais cette réussite, ces plaisirs, ne pourraient être vraiment accomplis sans l’apport de l’équipe du centre de La Bocca, Christian , Cathy , Corinne, Christine et Françoise à qui s’était joint Jean-Jacques et sans oublier l’autre Christian qui nous a confectionné les rails d’or.
On ne mesure pas assez le fait d’être accueillis dans la bonne humeur .C’est une contribution essentielle au succès.
Un très grand nombre d’entre nous ont pu assister à la sélection officielle et d’autres à la quinzaine des réalisateurs. (Cette année , l’association offrait pour les non accrédités des tickets que nous avions acheté, ces tickets étaient prioritaires ainsi un groupe de ceux du rail , dont moi-même, ont été refoulés parfois alors que tous les possesseurs de ces tickets étaient rentrés).
Les sujets concernant à la fois l’histoire et la société n’était pas absente de la sélection officielle provoquent bien des discussions et des polémiques.
Nous aurons eu Ken Loach, avec L’Irak sombre et pessimiste qui lui aura valu un rejet.L’algérie avec Xavier Beauvois et les moines de Tibehrine et Rachid Bouchareb avec «hors la loi », film qui aura provoqué une polémique nationale avec manifestation de l’hotel de vile de Cannes jusqu’à la croisette.
Et il y a eu le rail d’or 2000, Alejandro Gonzalès Inaritu avec « Amours Chiennes » pour une histoire très actuelle : des travailleurs sans-papiers et clandestins , chinois et africains et entre eux un Catalan Javier Bardem qui a eu la palme du meilleur acteur masculin
Toujours sur les sujets de société, Wall Street d’Oliver Stone a beaucoup déçu mais c’est à la quinzaine que nous aurons vu « Cleveland contre wall street « documentaire mis en scène du suisse Jean Stéphane Bron nous aura beaucoup appris sur les « subprimes ».A ce sujet nous envisageons (nous en discuterons bientôt) de projeter ce film lors de notre assemblée générale en présence du réalisateur qui nous a dire plus sur ce faux procès mis en scène